Ahhhh le Paris d’antan ! Quand on ferme les yeux et qu’on laisse place à son imaginaire, on entend les accordéons, les violons et le grouillement des pas des piétons, près du boulevard Haussmann et à l’angle de la rue de Rivoli. En mettant une patte dans les années 1900, Téo Suzon se fond dans un décor romantique et bohème. Flâner parmi les squares et les devantures historiques n’aura jamais suscité autant d’engouement chez le bouledogue. Il dévore des yeux l’architecture pittoresque qui l’entoure, et il dévore de faim sa miche de pain, son camembert et son café. Un parfait cliché d’une France révélée par Téo Suzon qui endosse parfaitement les couleurs de l’hexagone.